La courbure du Dôme est l’espace de jeu idéal pour clore en beauté cette Année des 13 lunes, pour servir de cadre à une symphonie lunaire composée de cratères en mouvement, de nuages de blancheur, de personnages de feu, de lumière glaciaire, et où les chocs des pierres, les sifflements du verre, le rythme de gouttes, les tremblements de « terre » et le souffle du vent sont autant d’instruments de cette musique du possible.
Les artificiers du Groupe F vont illuminer avec la force de l’image et la finesse de la flamme, avec la musique des explosions et l’averse des étoiles, avec le ciel comme témoin.
Antoine Le Ménestrel, cet Habitant du lundi qui, pendant 13 mois, n’a jamais posé le pied au sol, est le fil conducteur de ce coucher de lune.
Et pour interpréter cet univers musical, dernier apport de Pierre Sauvageot à cette première aventure lunaire, les chefs d’orchestre du Concert de Public redeviendront musiciens pour cet acte final.