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sur www.espaces-sonores.com

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Nouvelle architecture. Nouveau propulseur. Nouveau nom de domaine. Nouvel hébergeur. Nouveau look ! Voilà de quoi aborder nouvellement cette nouvelle année !.. En route...

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"Première nuit à Singapour. Je n’arrive pas à m’endormir… Mes oreilles aux aguets ne peuvent trouver la paix. Le ronron deS climatisationS m’obnubile. AIR CON. Moi qui suis venu chercher le "tune" de Singapour ?!. C’est donc cela ?!. AIR CON…

À mon réveil une question me bouleverse : l’air peut-il être SOUS condition ? Et quand bien même, lors, sous QUELLES conditions ?!.
 "Water, -Electricity & -Money !!!" me répond une petite voix…

Quel est donc le prix (à payer) du Confort : cette véritable (sur-)"protection" environnementale ? Mettre une société entière, à l’abri, face aux assauts des éléments, signifie : s’écarter, ensemble, chaque jour un peu plus de la Nature… Chaleurs accablantes et pluies torrentielles, sont certes une réalité de tous les pays tropicaux… Mais ici, spécifiquement, serait-ce de du souvenir d’un passé marécageux, poisseux, maladif, que voudrait se débarrasser Singapour, et à tous prix, même à celui du sacrifice de sa mémoire, collective, et de ses lieux… encombrants… "non efficient" ?!."

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"Que fait-on dans une gare ? À part ceux qui y travaillent : on y passe… Et re-passe… On y passe… du temps. On attend. On tend vers où ? Vers qui ?? Vers quand ??? On a, ou pas, le temps… En tout cas, et par tout temps, les secondes y sont comptées, rationalisées, aiguillées. La Gare toute entière bat la mesure. Elle donne à tous, et à toutes, un unique TEMPO : celui de la seconde, implacable : 60 Battements Par Minute. C’est une énorme machine temporelle, une sorte de mon(S)tre… Et si, au delà de ce temps social, saccadé, battu, on pouvait déceler, partager, expérimenter, un temps fluide, plus humain, plus intime : celui de la DURÉE ?!."

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"Comment plonger l’auditeur dans un véritable bain sonore : une immersion radicale de l’écoute, de longues apnées sous casque face à un sonore ambiant pauvre, sec… Au fond de ce bain, il y aura quelque chose d’infime et de subtil à entendre, comme un coeur qui bat… Comme une respiration fluide, aqueuse. Comme quelque chose ou plutôt quelqu’un-e, qui tape contre les parois de ce ventre rempli de liquide, amniotique. Cette écoute immersive ne pourrait-elle faire émerger une sensation d’écoute intra-utérine ? Car nous avons toutes et tous, grandi, entendu, et nagé dans la mer de nos mères : nos premiers bains ! "

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"Les larges tranchées laissées ouvertes par les travaux en cours, me font penser à des sillons, traces d’un récent un labour. La présence des oiseaux, de carrés potagers dans la cours de la maternelle, d’un choux hirsute, dont la graine, naufragée d’un sac poubelle, germera sauvageonne au pied de l’immeuble ; m’invitent, tous et toutes, à l’évocation de la campagne. Celle-là même qui juste avant la construction de la ZUP, étalait ses potagers, ses bêtes, son outillage, sur les terres fertiles de ces anciens marais. Réveillons la mémoire des lieux, en creusant les rapports entre la ville et la campagne, entre cet hier rural décati et ces lendemains urbains enchanteurs promis… Sans doute l’occasion d’évoquer aussi quelques problématiques écologiques… dont la timide ÉCOLOGIE SONORE ! "

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Commanditée par le National Arts Councile of Singapore, voici la nouvelle création contextuelle d’Un Pépin pour 2, in english, please !..

Après 2 semaines de résidence IN SITU à Singapour du 05 au 17 mars, l’équipe d’Espaces Sonores est rentrée en France et a continué tout au long du mois d’avril de composer cette création inter-continentale.

Retour sur l’île du Lion, le 07 mai pour 10 jours de finalisation des écritures croisées (sonore, musicale, territoriale, témoignante),

enfin, en représentation du 18 mai au 02 juin, à l’occasion de l’édition 2012 du Singapore Arts Festival.

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Après nous être REMUE(r) les MÉNINGES avec LIEUX PUBLICS à la CASA MUSICALE de Pigna ; après avoir superposé des écoutes contextuelles à la réalité sonore de Tournefeuille et de son USINE ; après être partis à la rencontre de ce quartier en pleine reconstruction urbaine : la Chancellerie, à Bourges, aux côtés de l’AGENCE D’EXPLORATION URBAINE d’EMMETROP ; nous avons plongé nos écritures plurielles, riveraines et immersives, dans cette Marne, à St-Maur-des-Fossés, dans le cadre du FESTIVAL DE L’OH ! ; pour finir cette saison à Marseille, avec LIEUX PUBLICS, pour un parcours sonore à vivre sous, dans et aux alentours de la Gare Saint Charles, à l’occasion de la 5ème édition du SMALL IS BEAUTIFUL.

Nous voici de retour d’un repérage à SINGAPOUR en vu de la création de notre prochain parcours waterproof à partager à 2.

@ suivre tout au long de cette nouvelle année, qui sera celle du dragon !

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Après les bords de Marne de St Maur des Fossés (Festival de l’Oh !), une nouvelle aventure d’écritures croisées in situ, à Marseille. Ici, nous sommes partis à la rencontre de la gare St Charles afin d’y faire cheminer une écoute inouïe en résonance aux espaces traversés et aux humanités rencontrées. Via cette écoute vagabonde, remettre le corps du spectateur en jeu, au centre des enjeux que soulève ce corps conscient, engagé dans des situations artistiques toujours au contact, à la frontière, de cette réalité définitivement poreuse...

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Dans le cadre de l’appel à présentation de projets « Création musicale & jardins », un jury composé de deux représentants du monde musical contemporain, et de deux représentants du monde des jardins, a sélectionné 10 projets.

Ils seront présentés par leurs concepteurs le 29 juin 2011, à l’Abbaye de Royaumont, aux membres de l’AFDJEVP (Association française des directeurs de jardins et d’espaces verts publics) d’Ile-de-France, ainsi qu’à des responsables et programmateurs de structures de diffusion.

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Dans le cadre de sa création « Un Pépin pour 2 », parcours sonore à partager à deux sous un parapluie, la compagnie Espaces Sonores propose une promenade écrite et composée spécifiquement pour les berges de la Marne : « Comme un Pépin dans l’eau ».

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À l’occasion du cinquième anniversaire du marché de petits producteurs de Sainte-Croix-Volvestre, la Cie Espaces Sonores a proposé toute la matinée des départs en co-écoute sous ses Pépins.
Un projet durable à base de sons recyclés.
Une promenade écologique, citoyenne et po-éthique.
Une invitation à voir et écouter son environnement autrement.

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Ici, c’est la Chancellerie (quartier en renouvellement urbain) qui a été re-visitée par la compagnie, le temps d’une résidence d’écriture in-situ d’une semaine.

Espaces sonores propose une nouvelle rencontre avec ce territoire : une autre écoute de sa réalité sonore, mais aussi une écoute de ceux qui témoigneront ici, autrement.

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TRAVAIL SUR LES ÉCOUTES EN RELATION À LA RÉALITÉ SONORE AMBIANTE.

COMPOSITIONS CONTEXTUELLES.

ÉCRITURES DES TÉMOIGNAGES

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Chaque année, cinq artistes ou compagnies. Ils ont chacun une idée, une intuition, une hypothèse de spectacle. Ils sont ou ne sont pas des habitués de la création pour l’espace public. Leurs idées sont fortes, prometteuses, et permettent d’imaginer beaucoup de chemins de réalisation différents. Le Remue-méninges réunit à huis clos, pour un séminaire de cinq jours, les artistes, des membres de l’équipe de Lieux publics et un groupe de consultants. Le groupe ainsi constitué décortique les cinq propositions, ouvre des pistes, nomme des possibles, rapproche des disciplines artistiques, met en perspective. Avec toujours le souci du propos et du lieu du propos, de l’action et de l’interaction, des conditions de représentation, de la dialectique du texte et du contexte. La parole est à l’artistique, mais se nourrit des réalités financières, administratives, techniques…

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"UN PÉPIN POUR 2"

2011 : >Commandes d’écritures :
 LIEUX PUBLICS - SMALL IS BEAUTIFUL -Centre national de création.
 FESTIVAL DE L’OH ! - Conseil Général du Val de Marne. >Aide à l’écriture :
 SACEM - Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de musique

>Aide à la production :
 LIEUX PUBLICS - Centre national de création.
 EMMETROP -Artcultures et autres.

>Prêt de salle :
 L’USINE -lieu conventionné dédié aux Arts de la rue.

2010 : >Aide à la production :
 L’ATTELINE -Pôle régional des arts de la rue.

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"DÉRIVES"

2009 : >Aide à la maquette :
 PRONOMADES -Centre national des arts de la rue.

2008 : >Soutien à l’écriture :
 DMDTS /SACD -dispositif « Écrire pour la rue ».

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Urbaphonix est une équipe mobile de cinq personnages intervenant dans le paysage sonore, en direct, in situ. Ils appliquent à la lettre le précepte de John Cage : « Si un son vous dérange, écoutez-le ».

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“De la déambulation sur les pas d’un cheval (Père Courage, Le Phun) à l’intimité d’un parcours sonore sous parapluie partagé (Un pépin pour 2, traversée sensible et poétique d’un quartier proposée par la compagnie Espaces sonores), en passant par un festival imaginé comme une chorégraphie de citoyens (Dream City, festival d’art in situ à Tunis) : le vecteur commun est bien le corps du spectateur / citoyen, qui peut devenir actant à son tour.”

Julie Bordenave – MOUVEMENT

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Le Méta-Instrument est une sorte de gros Joystick qui permet de manipuler 54 variables simultanément et indépendamment les unes des autres (soit l’équivalent de 27 souris d’ordinateur).

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"Parasons" en main, casques sur les oreilles, une trentaine d’auditeurs ont pu expérimenter ce premier parcours sonore waterproof pour site spécifique, le samedi 23 octobre 2010 à Villeneuve lès Maguelone.

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Une résidence dans la région de Huesqua (Aragon, Espagne), nous a permis de partir à la "pêche" de nouveaux matériaux sonores.

Des prises de sons "dynamiques", ont alors été effectuées afin de venir mettre en mouvement l’écoute, la rendre encore plus fluide ! C’est en effet, dès la prise de sons que se profile, déjà, l’écriture du sonore. Leur musicalité bruit à travers l’écoute. Des notes comme des gouttes perlent déjà à sa surface.

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Réalisée à partir d’une installation plastique composée pour l’espace public et offerte à la visite libre, « TRAGÉDIE ! Un poème… » questionne l’espoir. Peu à peu habitée par des héros de l’ordinaire, l’installation se transforme. Les performances, l’univers sonore, les interactions avec le visiteur, les mots échangés, proposent aux spectateurs un voyage poétique et décalé, qui ouvre sur une note collective optimiste… comme une métaphore de ce qu’il est encore possible de faire ensemble ?

photos © Ema Drouin

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"Un pépin pour 2" est un parcours sonore proposant une complicité d’écoute au casque, à deux, sous le couvert d’un parapluie. Son principe est le suivant : offrir une traversée sonore sensible et poétique d’une ville, d’un village, ou de tout autre espace ouvert.

La création sonore viendra mettre en relief le territoire, en résonance, pour lui offrir des échappées nouvelles, insolites. Fait de déambulations et d’arrêts, le parcours sera balisé par une signalétique afin de guider les auditeurs dans leur cheminement.

Chaque parcours sera l’objet d’une nouvelle création comme en écho à ses spécificités.

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L’eau, un bien précieux, une richesse altérable mais aussi un matériau fluide pour la sculpture sonore ! En guise de rafraîchissement artistique, "En attendant la pluie" propose un parcours sonore hydrophonique adapté à un espace de déambulation toujours nouveau. La proposition sonore et musicale se donne comme reflet des espaces traversés en vu d’offrir aux auditeurs un parcours sensible à haut taux d’humidité. Eaux d’ici, ou bien d’ailleurs ; sauvages ou domestiquées, rurales ou urbaines, c’est un flot acoustique sensible et désaltérant qui vient sourdre à l’oreille dans un véritable bain sonore. Ceci dit, c’est bien à l’abri et au sec que l’écoute sera partagée sur l’ensemble du parcours...

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Acteur du développement de l’art sonore en espaces libres (Lieux Publics), compositeur de musiques électroacoustiques multiphoniques pour le spectacle vivant en espace public (Le Phun, Osmosis Cie, 2ème Groupe d’Intervention…), Stéphane Marin s’investit depuis maintenant plus de sept ans dans ces aventures artistiques qui prennent la ville comme lieu de résonance, comme matériau vivant pour la composition de nouvelles formes musicales et sonores à son échelle.

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2012

Création, production et diffusion de « An Umbrella for 2 », Espaces Sonores (Singapore Arts Festival). Mise en espaces sonores d’“Urbaphonix”, Décor Sonore (Châlon dans la Rue IN, Familistère de Guise, Printemps des Rues, Jeudis du Port - Brest, ...) Création "La Montagne ça vous soigne !", 2ème Groupe d’Intervention (Balade des Grands Chemins - Ax-Les-Thermes).

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2011

Création(s), production et diffusion de « Un Pépin pour 2 », Espaces Sonores (Emmetrop, l’Usine, Festival de l’Oh !, Small is Beautiful – Lieux Publics). Mise en espaces sonores d’“Urbaphonix”, Décor Sonore (la Paperie, 2R2C, CCAS, Festival La Strada – Grätz – Autriche) Tournée live “Tragédie ! Un poème”, 2ème Groupe d’Intervention (Malakoff, Festival Malta – Poznan - Pologne).

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2010

Écriture, production & maquette de « Un Pépin pour 2 », Espaces Sonores (Atelline). Création sonore & musicale de « Tragédie ! », 2ème Groupe d’Intervention (Festival de Châlon dans la Rue, Festival d’Aurillac).

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Né en 1973. Acteur du développement de l’art sonore en espaces libres (Lieux Publics), compositeur de musiques électroacoustiques multiphoniques pour le spectacle vivant en espace public (Le Phun, Osmosis Cie, 2ème Groupe d’Intervention…), Stéphane Marin s’investit depuis maintenant plus de sept ans dans ces aventures artistiques qui prennent la ville comme lieu de résonance, comme matériau vivant pour la composition de nouvelles formes musicales et sonores à son échelle.

La trajectoire artistique de Stéphane le pousse aujourd’hui à dépasser tous les cadres qui l’assignent à une résidence uniquement sonore. Ses pratiques de la poésie et de la philosophie le renforcent dans ce choix : l’écriture, devenue sonore, a toujours fait partie intégrante de sa démarche qu’elle soit réflexive ou esthétique.

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Né en 1975, Emmanuel Ménis débute sa formation musicale par le piano classique. Il la poursuit au Conservatoire de Toulouse en y étudiant l’écriture musicale, l’analyse, l’orchestration et l’histoire de la musique, tout en jouant parallèlement de la guitare électrique dans des groupes de “rock”. L’écoute, entre autres, de Jimi Hendrix, Pink Floyd, Frank Zappa, le mène à s’intéresser à la musique contemporaine ; la pratique de l’improvisation et le désir d’en fixer les instants magiques mais fugaces le poussent à se diriger vers la composition.

“Un pépin pour deux”, conduit Emmanuel à considérer la composition selon une approche nouvelle : non plus comme un processus d’écriture autonome, régi par des lois propres, internes, mais en cohérence avec les divers modes de relations que le sonore et le musical peuvent entretenir avec tel lieu ou tel espace particuliers, ainsi qu’avec le contexte, la situation d’écoute. Le matériau compositionnel tire ainsi sa source d’un lieu donné, à un moment donné. La musique qui en découle devient alors indissociable de l’espace physique qui l’a engendrée, pour et avec lequel elle a été conçue et dans lequel elle est donnée à entendre. Et ce, d’autant plus lorsque les spécificités sonores de cet espace font intégralement partie du discours musical.

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Née en 1972, Elizabeth Masse est danseuse, lectrice, auteure, comédienne et actrice pour le grand écran.

La langue des signes fait partie intégrante de son travail.

Après quelques années en Bourgogne, dans le Nord et en Belgique, elle s’installe à Toulouse.

Lectrice passionnée, amoureuse des mots, elle aime donner à entendre une histoire, les silences habités, les émotions qui en découlent.

Écriture...Danse signée...Lectrice...

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Née en 1979 à Bruxelles, Bénédicte Dierickx étudie le solfège et le violon durant 14 ans. Elle intègre ensuite une école cinématograhique de renom, l’INSAS, en Belgique, pour y étudier le son durant 3 ans. Elle y réalise son premier documentaire radiophonique qui éveille particulièrement son intérêt sur les potentialités d’une écriture du sonore. Sortie de l’Institut elle voyage durant plus d’un an au Canada et au Mexique. Elle y travaille comme ingénieur du son et effectue des piges pour les télévisions nationales belges lors de ses escales en Belgique.

C’est ensuite du côté de Lyon et des Pyrénées qu’elle continue à pratiquer. Elle participe en 2005 à un stage de création sonore mené par Kaye Mortley, auteure pour France Culture et intègre dans la foulée deux radios toulousaines comme titulaire d’émissions culturelles. Elle écrit et réalise ensuite un court-métrage audiovisuel et un documentaire radiophonique, largement diffusés, sur les AMAP.

Des voyages au Canada et en Afrique de l’ouest sur différents projets s’ensuivent. Aujourd’hui, elle s’investit de plus en plus dans le cinéma d’animation, pour la partie son, et termine la réalisation un documentaire radio sur les teintures naturelles.

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Né en 1971,(Info-)graphiste, régisseur polyvalent, mais encore, guitariste.

Né en 1971. Après des études d’Arts Appliqués et d’Arts Plastiques à Toulouse et Rennes, son goût de fabriquer des images "grandeur nature", plus que sur écran ou papier, l’oriente rapidement vers le monde du spectacle.

Suite à diverses collaborations avec des compagnies "de rue", il croise alors la trajectoire de la compagnie "Le Phun", avec laquelle il collabore depuis 1999.

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née le 23 décembre 1974, nomade, au grès des propositions humaines, sensibles et artistiques.

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Parler de la rencontre, de soi, de l’autre, de soi vers l’autre. Un mouvement, une dé-marche pour y conduire. Sortir de soi, se jeter à l’Autre. Deux rives les séparent, un pont les réunira. Il et elle, un homme, une femme. Ils et elles, deux groupes de publics aux départs synchrones, mais séparés, de chaque côté du canal, ou petite rivière, quand même accompagnés. Sur leur chemin, des empreintes/impressions sonores, des morceaux de pensées, des paroles morcelées, une présence, de l’autre côté.

Lauréat du dispositif "écrire pour la rue", 2ème session 2008. Ce dispositif d’aide, a été institué par le ministère de la Culture et de la Communication (DMDTS), en partenariat avec la SACD. Il s’agit d’une aide en amont pour la conception d’une dramaturgie originale pour la rue.

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À l’occasion de l’inauguration de la nouvelle USINE (lieu conventionné dédié aux Arts de la Rue), Espaces Sonores a proposé une installation sonore multiphonique interactive.

Quelques 30 hauts parleurs et caissons de basse sont venus faire résonner la Grande Halle de construction, et ont habité tous ses recoins créant, de concert, une véritable polyphonie industrielle, mais pas que...

dans le cadre de la FESTA EUROPA 2008

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La Conscience de Sultan est un entre-sort géant pouvant se développer entre 100 et 1000 mètres cubes.Elle engloutit le public. Elle est constituée d’objets symboles en suspension.Elle est une image spectaculaire animée en son coeur par Sultan, Léon, Philomène, hommes et femmes blouses, authentiques sculptures vivantes et impeccables manipulateurs de l’univers sonore intégré à la Conscience.

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Le spectacle ’ALHAMBRA CONTAINER’ aborde ce sujet tragique de l’exil, d’un monde en mouvement entre rêve, espoir, désillusion. Il dépeint cette confrontation au réel, à une vie meilleure. Invitation à une rencontre de l’imaginaire et du réel, de la tradition et de la modernité, de la fiction et du documentaire. Cette création s’inscrit dans une recherche d’écriture du corps dans l’espace des Arts de la Rue.

“ Écrire dans l’espace de nos villes un ballet de corps et de machines grâce à l’objet scénographique et chorégraphique fournit par trois conteneurs 8” et les véhicules roulant les transportant, afin de poursuivre le spectaculaire voyage immobile de ce camion porteur et sa remorque ‘TRANSIT’ “

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Krétakör, compagnie de théâtre contemporain hongrois, et Le Phun, compagnie de théâtre de rue français, ont entrepris une coopération artistique à l’échelle européenne. Les deux compagnies partagent leurs savoir-faire et pratiques théâtrales respectives afin de réaliser la création commune des deux premiers épisodes de Père Courage, spectacle issu d’un imaginaire Européen. Aurillac sera la deuxième étape de ce projet théâtral transfrontalier. C’est en retour de ce périple sur le Danube, que sera présentée, au cœur du territoire Aurillacois, une nouvelle étape de ces aventures : Duna V.S Salers**.

Duna V.S Salers : Sauvée des eaux, Duna, fille du Danube, est prise à partie par la sanguine Salers, reine de Cantal. elle devra son salut au brave Père Courage.

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C’est dans un secret le plus total que la Cie Tartine Block concocte depuis quelques mois leur première création : une comédie policière digne des films d’espionage des 70’s.

...une série d’aventures aussi incredible qu’extraordinaires, aussi boulversifiantes qu’amusing, and so exotic than profondément humaines…

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Absolu comme des enfants dans leur amour et dans leurs rêves, nos cinq idiots essaient d’être productifs. Subsides pour l’institution fermée dans laquelle ils se trouvent, ils cherchent à comprendre ce monde qui les rejettent. Ce soir est un grand soir. Pour la première fois ils vont donner un spectacle devant nombre de visiteurs extérieurs : « des supérieurs ». Certainement pour décider de leur aptitude à sortir, aller vers le grand monde, sortir de cet enfermement pour aller comme les autres, avec les autres, mais sans se séparer, être libre ! Aussi préparent ils des numéros impossibles, qui surpassent leurs handicapes. Et bien sûr c’est l’échec, l’échec et le miracle.

Texte : Luc Boltanski. Scénographie : Christian Boltanski.

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@ écouter sur site...
/les spectacles

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’AUTOROUTE DU SOLEIL’ inspiré à partir d’une bande dessinée de Baru développe un dialogue musical, chorégraphique et vidéographique autour de la traversée des espaces, d’un territoire qui fait de cette création un véritable road-movie dans lequel les images physiques, vidéo et sonores répondent aux lieux de cette "fuite" : paysage urbain, paysage rural et paysage portuaire.

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Performance itinérante

D’une porte à l’autre de la ville, de Choisy aux Batignolles, au rythme tranquille et poétique d’un petit convoi mené par un cheval mécanique, cette déambulation pacifique essaime dans Paris personnages et visions noctambules, du soir au petit matin.

Cette proposition de parade légère à travers Paris offre aux spectateurs un autre visage de la ville, lunaire et piétonnière. .../...

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Pour être introduit au cœur de la cérémonie, il y a un parcours initiatique. Le lieu de la naissance est loin, caché, enfoui.

La forêt qui murmure .../...

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Les "Beaux Jours", break-beats printaniers, une réflexion ludique et rythmique sur les rapports amoureux...
...
...
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CHERCHE :
EVE :
THE MOOVY :

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Pour deux danseuses de revue, un guitariste et un compositeur de musique électronique.

Delection Palace est un éclat d’espace-temps spectaculaire. Le un est double et pourrait être multiple. Le décor est accordé au costume, il pourrait coller à la peau. Le geste est sec mais long et l’enchaînement est revu sans être répété. Les lumières mettent à l’abri de l’obscurité... qui protège les yeux du décor. Enfin, les transitions sont à revoir.

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Assistant de Denis Cabacho dans l’animation d’un workshop de percussions urbaines à Beirut où nous étions invités pour la préfiguration du Beirut Street Festival.
Une semaine de résidence à la Zico House (et sur les parkings environnants...) pour créer avec une trentaine de jeunes beirutis, musiciens amateurs ou professionnels, un spectacle musical basé sur les percussions urbaines.
Panneaux de signalisation, bancs publics, poubelles, abris bus, vitrines..., toute la ville peut devenir un instrument de musique qu’il faut donner à entendre. Véritable "recyclage" sonore cette performance sera (...)

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Musique du générique du film "Androïde" d’Emmanuelle Grangier traitant de l’exposition multimédia "L’Homme Transformé", de Maurice Benayoun -La Villette, 2002.
Androïde-L’homme transformé
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Le choix porté sur les Cyniques d’après l’ oeuvre de Michèl Onfray, est une manière de mettre en relation les rapports entre l’actualité médiatique (licenciements abusifs, exercice coercitif du pouvoir, gestion utilitariste des ressources planétaires...), une secte philosophique socratique, et ... mon alter ego :CYNIK !
Le point de vue est celui de la "bêtise", la réponse sonore est animalière.
Les injonctions du MC font sa fête au philosophe à la dialectique imbuvable.
La crudité de l’illustration sonore rappelle celle de la vie, et de l’une des morts de Diogène, indigestion d’un poulpe mangé …cru ! (...)

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« Station (1 ) » premier volet d’un triptyque intitulé « Stations » transcrit une série de trois postures : assise, debout, couchée.
Sa forme pluridisciplinaire mue de la voix à l’image via la danse : la parole qui l’initie transformée par traitement sonore et réinterprétée par une danseuse se clôt sur une projection graphique. Le vecteur de ces métamorphoses est la voix retraitée par informatique. Lors de ce processus, la technologie - dénominateur commun de ces reformulations - s’intègre comme élément de discours : l’interaction homme/machine est lisible par le public. Chaque interface est un canal de (...)

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"(G)noise" prolonge les thématiques précédentes d’Eros et Thanatos en renchérissant formellement dans l’abstraction. Il correspond à une tentative limite d’éprouver l’équivalence son-texte.
Aux sédimentations son-texte par déconstruction, mis précédemment en usage, il enchérit en 2 points :
1) inversion du rapport signal/bruit ainsi que formulé par l’exergue du CD "Noise is the message".
2) valorisation de la notion de processus d’écriture au détriment de celle d’auteur par des syst mes d’écritures collectives.
Tentative de laisser la part belle à l’erreur, à la méprise et au hasard dont malice (...)

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Un opus de 11 morceaux inédits.

Des vieux sons recyclés par centaines en coupé/collé insolites.

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Le projet Cacerolazos argentins, concerts de casseroles ou de sifflets, manifestations sonores, les citoyens utilisent les bruits quotidiens pour faire entendre leur voix. Cette matière sonore, dans sa richesse, sa simplicité et son pouvoir d’émotion, est l’objet même de notre création. Dans cette création, tout le monde est musicien, il n’y a pas de public "passif". Les chefs d’orchestre, sur des nacelles suspendues, dirigent par leurs gestes une oeuvre simple, ludique et contemporaine interprétée par 100 à 10000 "exécutants". Voyage au centre de la matière musicale …Échos, réverbérations, (...)

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Participation aux émissions de création radiophonique live "Claradio"
Habillage d’antenne (virgules, jingles,...)
Réveil :
Q... :
Papillonades :

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Se retrouver sur le parvis de l’Opéra, à midi net, pour jouer avec la sirène de la sécurité civile, chaque premier mercredi du mois.Voilà le défi que s’est donné "LIEUX-PUBLIC" en invitant, compositeurs et metteurs en scènes à un rendez-vous sur deux sirenes.
Depuis mars 2003, des compositeurs ou des compagnies de toutes disciplines, de toutes esthétiques, s’affrontent à un signal sonore urbain puissant, la sirène du mercredi midi. Ils proposent chaque premier mercredi du mois, à midi net, sur le parvis de l’Opéra de Marseille, une création de 12 minutes, pièce écrite pour la ville, dans la ville, avec (...)

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"Je ne veux pas croire qu’il existe une femme dans le monde qui, portant en elle l’enfant de sa chair espère qu’il devienne de la chair à canon. Je ne veux pas croire qu’une femme dans le monde ait espéré voir partir son homme dans la boue des tranchées. Je veux croire à cette femme qui préfère soulever son coeur haut et fort, espérer, tenir front, plutôt que soulever les armes. Je veux, par delà les terres et les mers qu’une pensée d’amour passe les montagnes. Elles sauront l’entendre..." Z. FARAGOU
Réactives (Extrait) :

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Dans le cadre de l’opération de renouvellement urbain (ANRU) menée au Mont Liébaut et de la manifestation culturelle Z’ArtsUp, la Ville de Béthune a confié à la Compagnie le PHUN une résidence d’artiste de deux semaines au cœur d’un immeuble voué à la démolition.

L’espace d’une soirée, cet immeuble des années 60, où tant de familles ont vécu, s’est transformé en un paquebot en partance pour un ultime voyage...

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Pour la création sonore en espace public... Un laboratoire sonore et musical informatisé, espace spécifique dédié à la création sonore en espace public. ? Cet atelier n’est pas un studio-son de plus, mais le démarrage d’une constitution d’une banque de sons urbains, prises de sons extérieurs, repérages sonores des différents environnements acoustiques de la ville, récupération d’objets sonores, éléments de diffusion multiphonique autonomes...
Le studio son "Les Murs Ont des Oreilles" permet l’accompagnement de compagnies pour un suivi à long terme sur les aspects musicaux et sonores d’une (...)

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Suite au report de la Massalia prévue en 2004, la Ville de Marseille a proposé à différents acteurs culturels de se regrouper pour réaliser un grand événement artistique et festif en 2005. Le 25 juin 2005 donc, dans l’enceinte du Port Autonome, une grande soirée permettra de découvrir plusieurs créations d’artistes marseillais ou régionaux : Générik Vapeur, les artificiers du Groupe F et une création de Bernard Souroque avec plus de 1000 enfants de Marseille. Karwan sera associé à la manifestation dont la coordination artistique sera assurée par Féeries Urbaines. Dans ce cadre, Lieux publics a choisi de (...)

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Arold distille son univers circassien dans les rues ou bien sous chapîteau.

Acrobate, clown, jongleur, sa pratique des techniques du cique est toujours un enchantement

Une rapide collaboration nous réuni en 2004, lors d’un événementiel de la ville de Bastia.

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Le Train Phantôme est l’excitant enfer familial où Mme Ramon, son mari et ses enfants accueillent leurs proies à la tombée de la nuit.

L’attraction du frisson nous entraîne, les portillons grincent, le chariot s’élance… Mais le grand mécanisme s’enraye et le Train Phantôme s’immobilise dans l’obscurité complète… C’est inquiétant de constater que personne n’en ressort jamais…

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La courbure du Dôme est l’espace de jeu idéal pour clore en beauté cette Année des 13 lunes, pour servir de cadre à une symphonie lunaire composée de cratères en mouvement, de nuages de blancheur, de personnages de feu, de lumière glaciaire, et où les chocs des pierres, les sifflements du verre, le rythme de gouttes, les tremblements de « terre » et le souffle du vent sont autant d’instruments de cette musique du possible.
Les artificiers du Groupe F vont illuminer avec la force de l’image et la finesse de la flamme, avec la musique des explosions et l’averse des étoiles, avec le ciel comme témoin. (...)

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"Creuser jusqu’à fendre les veines du souvenir, en extraire les gaillettes de l’avenir."

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Illustrations sonores live des prestations de cette conteuse marseillaise.

Jeux de superpositions des réponses sonores au flot verbal.

Émergence d’un comique de situation issu d’un habillage sonore trop proche du texte, le redondant, le paraphrasant.

Travail de redite, de sur-jeux, à la limite de l’absurde (originel ?!.).

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MINI HARP :
AMON’S NIGHTMARE :
NOSTALGIK :
DEJEUNER SUR L’HERBE :

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"... sa tête chercheuse fourmille d’idées sonores. Son nouveau projet électronique, profondément rythmique, utilise l’art du breakbeat (nourri de Ninja Tune) dans une dimension dancefloor alternative, que d’aucuns jugeront "bonne pour le corps et l’esprit".

Attention aux oreilles sensibles, Cynik vous plonge dans un univers contrasté, évocateur d’ambiances, où l’inspiration urbaine se construit sur des sons de récupération (voix, instruments, bruits) que la machine fragmente et poétise. Une vraie boîte de Pandore, où chaque séquence vous porte de surprise en surprise dans une "drame’n’bass ethno-poëtik"" (Open Mag- Fev 2002)

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